

Fiche technique
Réf : AUTOCULT 06054
L'ingénieur Walter C. Jerome était sûrement un infatigable optimiste. Il a travaillé sur un même concept de véhicule pendant dix ans et pourtant il n'a pas trouvé un seul acheteur pour sa voiture, qui est entrée dans l'histoire de l'automobile sous le nom de "Sir Vival". Joli jeu de mot pour qui parle anglais !
L'Américain de Worcester au Massachusetts (USA), décrivait sa voiture comme un "véhicule révolutionnaire" - et c'était sans aucun doute le cas. Cependant, sa révolution n'a pas trouvé l'attrait espéré, car son apparence et sa conception ne correspondaient pas du tout à l'air du temps des années 1960.
Mais à quel point l'ingénieur était en avance sur son temps ?
On peut le voir dans l'installation de ceintures de sécurité, qui ne devaient être acceptées par la population que des décennies plus tard. Mais il y avait aussi des inventions qui manquaient de pertinence pratique. Par exemple, la solution la plus frappante, mais aussi la plus inhabituelle, était la division centrale de la voiture. Walter C. Jerome considérait cette division comme l'absorption idéale des forces latérales en cas de collision. Il réfléchit aussi aux petits chocs possibles en installant un tampon en caoutchouc entourant complètement le bas de caisse qui les auraient doucement absorbés.
Il a pensé également au conducteur en le plaçant dans ce que l’on pourrait appeler une tourelle, sur un siège rotatif de 3 pieds plus haut que les 4 passagers installés à l’arrière en contre bas. Le siège surélevé devait donner une meilleure vue sur l'avant et donc sur la circulation. Trois phares assuraient l’éclairage des routes. Deux d’entre eux oscillaient à l'avant lors d'une courbe, tandis que le central, placé au niveau du conducteur, brillait droit devant. Le moteur du "Sir Vival" était placé à l’avant sur son propre essieu.
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